A force de tout communiquer par mail, nous finissons par ne plus voir les autres, ou plus assez. Ils deviennent imperceptiblement des terminaux d’ordinateurs. Mais vous aussi vous devenez pour eux un terminal d’ordinateur. C’est d’une certaine manière l’horreur du virtuel : nous devenons tous virtuels. Et si nous allions voir les autres régulièrement pour leur parler directement ? Autrement dit, privilégions le visuel au virtuel.